vendredi 8 avril 2011

avis personnel sur le sujet: Elodie

Tout d'abord parler des squats n'était pas notre première idée, nous avons cherché plusieurs heures avant de trouver ce sujet qui au final nous a tous mis d'accord. l' idée de traiter de ce sujet est venu d'une discussion entre amis sur Berlin et ces squats. Nous avons ensuite élargi le sujet afin qu'il réponde d'avantage à notre problématique autour du thème 'espace privée espace public'.
Selon moi les squats représentent parfaitement le problème qui se pose en ce qui concerne la frontière entre bien privé et bien public, le squat consistant à s'emparer d'une propriété privée laissée à l'abandon (ou pas) en l'occupant. 
Ainsi je pense que squatter est tout d'abord un acte de 'rébellion' comme on peut le voir dans plusieurs reportages où les squatteurs expriment leur besoin de logement, et leur colère face à des propriétaires qui laissent des batiments à l'abandon malgré un manque de logement en ville croissant.
Cependant cette action de squat n'est pas légale, et de nombreuses expulsions de squats surviennent encore, quand d'autres trouvent des accords avec les propriétaires (ce qui reste néanmoins très rare) comme par exemple pour le squat Tachere à Berlin. 
J'ai choisis de traiter de ce squat et de faire sa description parce que je souhaitais particulièrement et personnellement parler d'un squat à Berlin, et la situation du Tachere me semble être un bon exemple pour illustrer notre sujet. En effet ce squat menacé pendant un temps est finalement rendu légal aujourd'hui suite à des accords entre squatteurs et propriétaires.
Je trouvais également important de parler de quelques autres grands squats tel que Christiania au danemark, qui donne un exemple de squat à une grande échelle et qui montre un aspect des squat comme 'ville dans une ville' et grand lieu d'exposition et de rencontre d'artistes.
Mais il est important de rappeler qu'en france par exemple de nombreux petits squats existent partout du fait du manque de logement ou d'argent du coté des squatteurs, et créent des tensions au sein des ville.

En conclusion je ne dirais pas que je suis pour ou contre les squats, mais je comprends le besoin des squatteurs de trouver un logement, même pour vivre dans des conditions précaires, je pense qu'il s'agit d'un véritable appel lié à un problème actuel et qui risque fortement de se développer dans le future à savoir la crise du logement et l'abandon de certains batiments dans les villes.

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